Marc 10: 13-30 : « Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche de rentrer dans le royaume de Dieu »

À l’époque, le peuple d’Israël avait l’habitude de clôturer les villes par un grand muraille; ainsi l’entrée de chaque ville était possible en passant par un grand portail. Celui-ci possédait à son tour une petite porte qui restait ouverte que les jours fériés et le jour de sabbat pour permettre aux gens d’entrer dans la ville. Ainsi l’expression qu’on utilisait pour exprimer le fait de passer par cette petite porte était “passer par le trou d’aiguille”.

Luc 11:5-13 : « Mon ami, prête-moi trois pains, car un de mes amis, qui est en voyage, vient d’arriver chez moi et je n’ai absolument rien à lui offrir »

L’ami chez qui le monsieur est allé c’est Jésus (Jean 15:14-15), le pain est la Parole (Matthieu 4:4) et l’on précise 3 pains (3 désignant la plénitude) pour dire suffisamment de quoi ne plus jamais avoir faim (Jean 6:35) et enfin la nuit le monde (Jean 9:4-5). L’autre ami qui vient du voyage c’est un rétrograde qu’il vient de gagner (Luc 15:11-32), il lui faut quelque chose de très convainquant pour lui ramener au Seigneur, alors tu vas chez Jésus pour trouver une parole qui dégagera le surnaturel.